Samedi 20 juillet


Gardur - Reykjavik
C’est calme malgré le monde, et nous nous réveillons tranquillement. Pas de vent mais toujours des nuages.                                                                                                                                             
En fait la plupart des personnes présentes font partie d’un rassemblement d’une communauté thaïlandaise . Ils sont nombreux, ont montés des stands et se préparent à faire la fête.                                                                                                                   
Mon mari part faire la vaisselle et en chemin discute avec tous les francophones rencontrés. En plus il revient avec un paquet de pâtes et un citron, donnés gracieusement  par une dame suisse qui reprend l’avion aujourd’hui !



Juste à côté de nous il passe un moment à converser avec un père et son grand fils. Des français qui voyagent dans un fourgon blanc et qui  ont l'air de bien connaître les oiseaux qu'ils observent avec un joli matériel.

 Nous faisons ensuite un tour sur la grève, puis au pied du phare parmi les Thaïlandais, et démarrons notre attelage pour rejoindre Reykjavik distant d’une cinquantaine de km. 


             
Le soleil tente timidement une sortie. Nous empruntons la voie rapide qui traverse les champs de lave pour gagner la capitale. Au loin les montagnes sont bien couvertes.


                                               
Nous retrouvons sans problème le chemin du camping, où il n’y a pas trop de monde en cette fin de matinée, et nous posons Brownie presque au même endroit qu’il y a deux ans.
                                                                                                                                             
Un camping car de français arrive. Un brin de causette nous apprend qu’il fait partie d’un groupe de 15, et que les autres vont arriver plus tard. 15 camping-cars français ! Et ben, on ne va pas être dépaysé !
Mais pour le moment allons donc à la piscine à côté, depuis le temps que nous l’attendions !
3640 Kr, ah ? C’était si cher ? Je n’avais pas ce souvenir.  
 Donc délestés de ces couronnes et équipés de bracelets magnétiques, nous entrons dans les vestiaires. Douche . Hum… cette odeur de soufre ! Quel plaisir cette douche.

Et puis l’extérieur, nuageux, 12°, mais bassins chauds, hot-pot bouillonnants, jeux de ballons, et cette année je me laisse même entraîner dans le grand toboggan.
Heu… j’ai l’impression d’être avalée par un serpent géant, aspirée dans un long tuyau, et ça tourne, et c’est clair, puis sombre, puis lumineux, avec des leds colorés… et PLOUF, plongeon final ou tu bois la tasse. Quelle aventure !
Bon, je préfère aller barboter dans le hot-pot, et faire des longueurs dans la piscine.

Hum… quel bonheur. Un grand moment de plaisir cette piscine.
Puis Fifi ayant faim (!) nous retournons vers Brownie, où à 14h45 je fais cuire les pâtes de la suissesse de ce matin. C’est que ça creuse la piscine !
D’autres camping-cars français arrivent et s’installent. Nous laissons Brownie et allons faire un tour au centre de Reykjavik. Nous passons devant la sculpture du drakkar, puis allons nous garer vers le port.

 

Ensuite nous parcourons les rues aux maisons colorées.





Il n’y a pas d’animation cette année. A part les touristes qui déambulent, c’est un peu morne.





Nous découvrons une maison qui arbore à côté de la porte d'entrée l'arbre généalogique de son occupant. On ne trouverait pas cela par chez nous...





Nous passons un bon moment chez 12 Tonar à choisir et écouter des disques. Le vendeur est sympathique, les fauteuils confortables, et nous avons même droit à un café. Charmant endroit.





Puis nous montons jusqu’à la cathédrale.



Le temps se couvre et le vent se lève. Nous redescendons par le lac Tjornin et regagnons la voiture.



Puis Fifi ayant faim (!), nous allons chez Eldminjà déguster les bonnes pizzas. Saumon, brocolis… miam avec une Thulé. 



Peperonni et quatre fromages pour les garçons, et coca à volonté. Encore un bon moment. J’en oublie même mon sac en partant, heureusement que le serveur me rattrape sur le pas de la porte. Oh !
 
Nous regagnons le camping sous la pluie et retrouvons Brownie bien entourée par tous les camping-cars !



Nous ne tardons pas à nous coucher alors que les gouttes tambourinent sur le toit.
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